Les herbes affolées par le vent dansent et animent la lande. Au fond, les lacs du Connemara nous jettent aux yeux leur bleu outremer que les nuages ne parviennent pas à ternir. Ils nous appellent mais nous n'irons pas. La tourbe veille et nous défie d'approcher leurs rives. Je ne rapporterai de là-bas, que cette photo là et un air de guimbarde que tu jouais derrière moi.
3 commentaires:
Rhô la la !!! J'ai hâte !
C'est drôle, je clique 2 fois sur la même photo. L'effet Connemara, sans doute.
Cet endroit est un multiplicateur d'émotions : si on est heureux, on se sent puissant, invincible et on pense que la vie est magnifique; si on est triste, on a envie de se laisser couler dans un de ses lacs.
Je me souviens de quelques jours là-bas avec un ami mélancolique. Je pense qu'il garde un mauvais souvenir du Connemara.
@Fiso : On va dire que le temps consacré sur place était trop juste. Nous n'avons eu qu'un avant-goût qui ne laisse pas d'arrière-goût amer...
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