jeudi 18 septembre 2014

Iridescences #3

Chaque matin, elle s'asseyait à son bureau, parfaitement immobile, fermait les yeux
et récitait courageusement la nouvelle litanie des années soixante-dix :
« Aujourd'hui est le premier jour du reste de ma vie. »

Armistead Maupin - Les chroniques de San Francisco (Tome 1 - 1978)

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire